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Der Sommer 2022 war mit 19,3°C der zweitwärmste Sommer seit dem Anfang der Aufzeichnungen und der trockenste Sommer seit 1921.

Er ist jedoch kein Einzelphänomen, keine Ausnahme, sondern ein Symptom der Klimakrise – ein Trend: zwischen 1961und 1990 hatten wir 2 Monate im Jahr, die regelmäßig von Trockenzeiten geprägt waren. In den letzten 30 Jahren hatten wir nur noch 2 Monate pro Jahr, wo das nicht der Fall war!

Mit der Klimakrise werden Extremwetter-Phänomene immer heftiger und extremer.

Darum müssen wir unsere Dörfer und Städte resilienter machen, weil sich in ihren Zentren an hochversiegelten Flächen sogenannte Hitze-Inseln bilden können, in denen es zu Überhitzung kommt und die über Nacht nicht genug abkühlen. 

Es gibt eine Reihe an Maßnahmen durch die wir unsere Dörfer und Städte resilienter gegenüber extremer Hitze gestalten und gleichzeitig Abkühlungs-Rückzugsgebiete für Mensch und Natur schaffen können.

Deshalb setzen sich déi gréng für eine Begrünungsoffensive im öffentlichen Raum ein, mit dem Ziel, Hitze-Inseln entgegenzuwirken und gemeinsam mit den Einwohnern eine zukunfstfitte Gestaltung des öffentlichen Raumes mit attraktiven Plätzen voranzubringen.

déi gréng stehen für:

  • mehr Platz für Fußgänger:innen, Radfahrer:innen und Kinder
  • mehr Straßenbäume, Hecken, und Grünflächen um die Artenvielfalt zu fördern
  • ansprechend gestaltete Plätze als Treffpunkt für Jung und Alt
  • attraktive Sitz- und Ruhemöglichkeiten um öffentlichen Raum
  • heimische (Obst-) Bäume und Hecken entlang von öffentlichen Wegen, Wiesen und Feldern sowie auf Spielplätzen

Eine höhere Biodiversität kann nur mit einer geringeren Versiegelung des öffentlichen Raums einhergehen. Daher ist es wichtig, gezielte Maßnahmen fest im Bebauungsplan (PAG) der Gemeinden zu verankern:

  • gepflasterte Gehwege und ökologische Parkplätze anstelle von Asphalt
  • eine klima-optimierte Begrünung und Anpflanzung von Straßenbäumen zur Verbesserung des Mikroklimas und zur Senkung der Temperaturen im Sommer
  • eine helle Gestaltung vom urbanen Raum mit wenig Versiegelung und z.B. einer offenen Regenwasserführung
  • Entsiegelung bereits versiegelter Flächen, z.B. von Schulhöfen und anderen Flächen, die nicht ständig von Fahrzeugen genutzt werden

Man kann aber auch bestehende Gebäude und Viertel nachrüsten: entsiegeln, heller und grüner gestalten mit schattenspendenden Bäumen.

Aber auch im privaten Bereich sollen Anreize geschaffen werden, um eine größere Artenvielfalt zu ermöglichen:

  • Stauden statt Steine: durch eine finanzielle Unterstützung oder die Bereitstellung von Stauden könnten Besitzer dazu angeregt werden, einen ökologischen Vorgarten anzulegen
  • Subventionierung der Begrünung von Flachdächern
  • Ermutigung der Eigentümer von Neubauten, mindestens 1-2 Bäume und Hecken zu pflanzen

Die Gemeinden werden durch den Naturpakt und den Klimapakt begleitet und finanziell unterstützt, um den Impakt von extremen Wetterphänomenen auf ihre Bürger:innen abzufedern und ihren Beitrag zur Begrenzung der Klimakrise zu leisten. Es liegt aber in den Händen der Gemeinden, politische Verantwortung zu übernehmen. 

Wie kann das konkret aussehen? Hier ein paar Beispiele aus Walferdingen:

Making our localities more resilient

At 19.3°C, the summer of 2022 was the second warmest summer since records began and the driest summer since 1921.

However, it is not an isolated phenomenon, not an exception, but a symptom of the climate crisis – a trend: between 1961 and 1990 we had 2 months a year that were regularly marked by dry spells. In the last 30 years we have had only 2 months a year where this was not the case!

With the climate crisis, extreme weather phenomena are becoming more severe and extreme.

That is why we need to make our villages and cities more resilient, because so-called heat islands can form in their centres on highly sealed surfaces, where overheating occurs and which do not cool down enough overnight.

There are a number of measures we can take to make our villages and cities more resilient to extreme heat and at the same time create cooling retreats for people and nature.

For this reason, déi gréng advocate a greening offensive in public spaces, with the aim of counteracting heat islands and working together with the inhabitants to promote a future-oriented design of public spaces with attractive squares.

déi gréng stand for:

  • more space for pedestrians, cyclists and children
  • more street trees, hedges and green spaces to promote biodiversity
  • attractively designed squares as meeting places for young and old
  • attractive seating and rest areas around public spaces
  • native (fruit) trees and hedges along public paths, meadows and fields as well as on playgrounds.

Higher biodiversity can only go hand in hand with less sealing of public space. Therefore, it is important to firmly anchor targeted measures in the development plan (PAG) of the municipalities:

  • paved walkways and ecological parking spaces instead of asphalt
    • climate-optimised greening and planting of street trees to improve the microclimate and reduce temperatures in summer
    • a light design of urban space with little sealing and e.g. an open rainwater drainage system
    • Unsealing of already sealed surfaces, e.g. schoolyards and other surfaces that are not constantly used by vehicles.

But existing buildings and neighbourhoods can also be retrofitted: unsealed, made brighter and greener with shade trees.

Incentives should also be created in the private sphere to enable greater biodiversity:

  • Perennials instead of stones: through financial support or the provision of perennials, owners could be encouraged to create an ecological front garden.
  • Subsidising the greening of flat roofs.
  • Encouraging owners of new buildings to plant at least 1-2 trees and hedges.

The municipalities are accompanied and financially supported by the Nature Pact and the Climate Pact in order to cushion the impact of extreme weather phenomena on their citizens and to make their contribution to limiting the climate crisis. However, it is in the hands of the municipalities to assume political responsibility. What can this look like in concrete terms? Here are a few examples from Walferdingen:

Rendre nos localités plus résilientes

Avec 19,3°C, l’été 2022 a été le deuxième été le plus chaud depuis le début des relevés et le plus sec depuis 1921.

Il ne s’agit toutefois pas d’un phénomène isolé, ni d’une exception, mais d’un symptôme de la crise climatique – une tendance : entre 1961 et 1990, nous avions 2 mois par an qui étaient régulièrement marqués par des périodes de sécheresse. Au cours des 30 dernières années, nous n’avions plus que 2 mois par an où ce n’était pas le cas !

Avec la crise climatique, les phénomènes météorologiques extrêmes deviennent de plus en plus violents.

C’est pourquoi nous devons rendre nos villages et nos villes plus résilients, car des „îlots de chaleur“ peuvent se former dans leurs centres, sur des surfaces fortement imperméabilisées, où il y a une surchauffe et qui ne se refroidissent pas suffisamment pendant la nuit.

Il existe toute une série de mesures qui nous permettent de rendre nos villages et nos villes plus résilients face à la chaleur extrême et de créer en même temps des refuges de refroidissement pour l’homme et la nature.

C’est pourquoi déi gréng s’engage pour une offensive de végétalisation dans l’espace public, dans le but de lutter contre les îlots de chaleur et de promouvoir, en collaboration avec les habitants, un aménagement de l’espace public adapté à l’avenir, avec des places attrayantes.

déi gréng signifie :

  • plus d’espace pour les piétons, les cyclistes et les enfants
    • plus d’arbres de rue, de haies et d’espaces verts pour favoriser la biodiversité
    • des places aménagées de manière agréable comme point de rencontre pour les jeunes et les moins jeunes
    • des possibilités attrayantes de s’asseoir et de se reposer autour de l’espace public
    • des arbres (fruitiers) et des haies indigènes le long des voies publiques, des prairies et des champs ainsi que sur les aires de jeux

Une plus grande biodiversité ne peut aller de pair qu’avec une moindre imperméabilisation de l’espace public. Il est donc important d’ancrer fermement des mesures ciblées dans le plan d’aménagement général (PAG) des communes :

  • des trottoirs pavés et des parkings écologiques au lieu de l’asphalte
    • une végétalisation optimisée du point de vue climatique et la plantation d’arbres de rue pour améliorer le microclimat et réduire les températures en été
    • un aménagement clair de l’espace urbain avec peu d’imperméabilisation et, par exemple, une gestion ouverte des eaux de pluie
    • la désimperméabilisation des surfaces déjà imperméabilisées, par exemple les cours d’école et autres surfaces qui ne sont pas utilisées en permanence par des véhicules

Mais on peut aussi réaménager des bâtiments et des quartiers existants : les desceller, les rendre plus clairs et plus verts avec des arbres qui font de l’ombre.

Mais il faut aussi créer des incitations dans le domaine privé pour permettre une plus grande biodiversité :

  • Des plantes vivaces au lieu de pierres : un soutien financier ou la mise à disposition de plantes vivaces pourrait inciter les propriétaires à aménager un jardin écologique devant leur maison.
    • Subventionner la végétalisation des toits plats.
    • Encourager les propriétaires de nouvelles constructions à planter au moins 1 à 2 arbres et des haies.

Les communes sont accompagnées et soutenues financièrement par le Pacte pour la nature et le Pacte pour le climat afin d’atténuer l’impact des phénomènes météorologiques extrêmes sur leurs citoyens:nes et d’apporter leur contribution à la limitation de la crise climatique. Mais c’est aux communes d’assumer leur responsabilité politique.

Comment cela peut-il se traduire concrètement ? Voici quelques exemples de Walferdange :

Tornar as nossas localidades mais resilientes

A 19,3°C, o Verão de 2022 foi o segundo Verão mais quente desde o início dos registos e o Verão mais seco desde 1921.

No entanto, não é um fenómeno isolado, não uma excepção, mas um sintoma da crise climática – uma tendência: entre 1961 e 1990 tivemos 2 meses por ano que foram regularmente marcados por períodos de seca. Nos últimos 30 anos, tivemos apenas 2 meses por ano onde não foi o caso!

Com a crise climática, os fenómenos climáticos extremos estão a tornar-se mais severos e extremos.

É por isso que precisamos de tornar as nossas aldeias e cidades mais resistentes, porque as chamadas ilhas de calor podem formar-se nos seus centros em superfícies altamente seladas, onde ocorre sobreaquecimento e que não arrefecem o suficiente de um dia para o outro.

Há uma série de medidas que podemos tomar para tornar as nossas aldeias e cidades mais resistentes ao calor extremo e, ao mesmo tempo, criar retiros de arrefecimento para as pessoas e para a natureza.

Por esta razão, déi gréng defende uma ofensiva verde nos espaços públicos, com o objectivo de contrariar as ilhas de calor e trabalhar em conjunto com os habitantes para promover uma concepção orientada para o futuro de espaços públicos com praças atractivas.

déi gréng representa:

– mais espaço para peões, ciclistas e crianças

– mais árvores de rua, sebes e espaços verdes para promover a biodiversidade

– praças atractivas como locais de encontro para jovens e idosos

– lugares sentados e áreas de descanso atraentes em torno de espaços públicos

– árvores (frutíferas) nativas e sebes ao longo de caminhos públicos, prados e campos, bem como em parques infantis.

Uma maior biodiversidade só pode andar de mãos dadas com menos selagem do espaço público. Por conseguinte, é importante ancorar firmemente medidas orientadas no plano de desenvolvimento (PAG) dos municípios:

– passarelas pavimentadas e lugares de estacionamento ecológicos em vez de asfalto

– ecologização climática e plantação de árvores de rua para melhorar o microclima e baixar as temperaturas no Verão

– um desenho leve do espaço urbano com pouca vedação e, por exemplo, um sistema aberto de drenagem de águas pluviais

– Des selagem de superfícies já seladas, por exemplo, pátios de escolas e outras superfícies que não são constantemente utilizadas por veículos.

Os edifícios e bairros existentes também podem ser adaptados: não selados, mais brilhantes e mais verdes com árvores de sombra.

Mas também devem ser criados incentivos na esfera privada para permitir uma maior biodiversidade:

– Perenes em vez de pedras: através do apoio financeiro ou do fornecimento de perenes, os proprietários poderiam ser encorajados a criar um jardim ecológico frontal

– Subsidiar o greening dos telhados planos.

– Encorajando os proprietários de novos edifícios a plantar pelo menos 1-2 árvores e sebes.

Os municípios são acompanhados e apoiados financeiramente pelo Pacto da Natureza e pelo Pacto Climático, a fim de amortecer o impacto de fenómenos climáticos extremos nos seus cidadãos e de dar a sua contribuição para limitar a crise climática. No entanto, está nas mãos dos municípios assumir a responsabilidade política.

Como é que isto pode parecer em termos concretos? Aqui estão alguns exemplos de Walferdingen:

Jessie Thill

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